"Stadtluft macht frei nach Jahr und Tag"

[Cliquez sur les photos pour les aggrandir] 

On est si bien à Berlin qu'on n'en bouge pas. "Nous restons là (dedans)"! ont écrit les habitants du squat.

Et puis à quoi bon bouger? Le monde vient à nous (quand Dieter Eich s'en va).

La ville est parcourue de flux, s'habituer aux trottoirs avec piste cyclable.

Kreuzberg le soir.

Alexander Platz, cœur de l'Est ancien.

 Le fantôme de la Fernsehen Turm (la tour télé).

D'autres fantômes: mémorial de la Shoah

Le mémorial a été conçu par l'architecte américain Peter Eisenman et l'ingénieur Buro Happold comme un «champ» de 2 711 stèles de béton (dont la forme rectangulaire unique de 2,42 m de long sur 0,95 m de large évoque le tombeau). Les stèles disposées en un maillage régulier ont une hauteur variable (de 0 à 4,7 m de haut) sur un sol irrégulier (il s'enfonce par endroit, s'élève à d'autres). On pénètre le champ de stèle et l'on s'enfonce dans les stèles comme dans le temps, la mémoire, l'horreur. Pas une inscription, c'est indicible.

Hauptbahnhof / Gare principale.

La marcheuse

C'est donc là, ouf. Il suffira de descendre à Ostbanhof.

Et de errer le long de la Spree.

La musique nécessite de l'espace libre...

Rien de tel qu'une Curry Wurst...

Elle règne en maître sur la cité réunifiée